[Se jeter à corps perdu dans la nouveauté, ce n’est finalement que donner le goût d’un jamais vu à quelque chose d’avant manqué.]
Il y a encore ces quelques mois aux abords de nous
Comme chemins d’aller comme pour s’atteindre
Comme sans retour, comme défaits –
Il y a à voir un effondrement
Puis, nous nous sommes présentés - finalement -
Nous avons vidé le temps
Sombre des craintes de la simple image
Nous sommes venus avec nos ombres
Saluer au miroir de nos aurores -
L’enfance
oui et encore oui
RépondreSupprimerquelque chose d'avant que l'on ne peut percevoir que depuis le futur : l'enfance
mais pas seulement ! que de courants dans cette première strophe... magistrale
tu nous traverses en traversant la vie
je te copie colle ...si tu permets !
Merci, vous!
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