De l'épuisement des choix
(naissance d'Orphée)
[J'ai retrouvé dans notre cabane en bois un peu de la soie de nos transformations]
Plus tard - nous avons grandi cet espace de la distance de nos mains -
plus grande que nos errances, nos déchirures poussées hors-de-soi -
Nous nous sommes manqués.
Lors - quand nous levons les yeux à hauteur des genêts -
nous mesurons l'illusion, racines à ras-de-terre -
A l'intervalle - nous croyons -images sans lèvres
où s'aère une prophétie à l'abandon
L'oeil simplement revenu à soi.
[Parfois des suites - 14 janvier - 27 décembre 2009]
Oui je l'ai vu ailleurs celui là déjà. C'est le Sisyphe de tes poèmes, sans cesse tu le remontes. Ou l'Arlésienne?
RépondreSupprimerjuste un texte qui amène une réponse 'définitive' à la citation de Germaine Krull et quelques autres poèmes qui partent de là et de ce texte en prose poétique, écrit, il y a un an, 'de l'air dans les petites boîtes' et que je reprends en déclinaisons, un nouveau recueil, nouvelle année, comme je le fais depuis six ans.
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