Je vis de ton absence De ce qui tombe laissé blanc Du souffle espacé du vent dans le dos Des ombres citadelles assiégées Je bois l’historicité - de nos signes Entre mots mi mots entre don Le désir . . . . .
Mes pas empruntent toujours des 'notes de sens', l'immédiat (quotidien/visuel)et ce qui fonde l'image née de cette prise de parole (ruines ou cendres de mémoire - le souffle) Ici un hommage certain à ce grand monsieur en dédicace - qui m'a légué un trousseau de mémoire de pierre de gestes d'air, son miroir. C'est aussi une référence directe à une oeuvre de georges didi-huberman. Un geste d'Amour, une reconnaissance. Serge, ta "présence' m'a manqué. C'est aussi ça.
C'est à la fois mystérieux et limpide.
RépondreSupprimerComment fais-tu?
Mes pas empruntent toujours des 'notes de sens', l'immédiat (quotidien/visuel)et ce qui fonde l'image née de cette prise de parole (ruines ou cendres de mémoire - le souffle)
RépondreSupprimerIci un hommage certain à ce grand monsieur en dédicace - qui m'a légué un trousseau de mémoire de pierre de gestes d'air, son miroir. C'est aussi une référence directe à une oeuvre de georges didi-huberman.
Un geste d'Amour, une reconnaissance.
Serge, ta "présence' m'a manqué.
C'est aussi ça.