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Dans un temps antérieur, il était dit que tant de pierres dormaient dans la mémoire :
dans ce village, dans ce cercle, en dedans
un rien ensemble à la tombée des sourires
derrière ou en-dessous
à l'envers des décors
Un temps défait des mots un temps revenu dans la lumière
Un temps charrié
Sans bords
Et nous dedans
semblants de corps,
alors
comment parler encore?
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"Tu vis à coté de moi, pareille à moi:
RépondreSupprimerpierre
dans la joue effondrée de la nuit..."
Il semble que Celan t'accompagne dans tes derniers poèmes et avec bonheur.
oui particulièrement dans celui-ci où je reprends en référence des textes plus anciens (de moi) et qui étaient dans ma période celan.
RépondreSupprimerJe suis ravie de te lire, je m'inquiétais de ton silence (sur ton blog) depuis quelques jours.
bises Serge.