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Une herbe pliée par le vent traverse la perspective d'un champs
Il y a des intervalles de silence de soi ....en soi déplacé dans la courbe .... dans le vent
comme un apaisement
Nos belles transformations ne creusent ni dans l'en-dedans ni dans l'en-dehors
Il faut un grand espace de démesure
Quelque chose libre ....il faut apprendre à tomber sans un bruit
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A R. Müller
Comme je sais que tu modères, je me permets:
RépondreSupprimerTu enlèves un p à apaisement pour que je glisse mon petit commentaire.
Bizz
Ce texte nous transporte au vent comme une feuille d'automne qui ne voudrait pas tomber. Puis ces mystérieuses transformations qui ne savent pas où creuser...
RépondreSupprimerJe ne sais pas s'il est de toi ou de Juarroz mais il me ravit.
Merci.
RépondreSupprimerMerci Serge.
il est de moi, une note de lecture de Poésie Verticale de Juarroz -- il y a sûrement dans ce texte un vocabulaire qui lui est propre.
une dépersonnalisation.