. . . . . Il est à prévoir que ton regard disparaisse La parole quand elle se mêle de peau est immédiate Eau – elle est eau Elle est fleuve - main non reconnaissable Il faudrait tout reconstruire et rendre la Mémoire – seule. . . . . .
Ah! S'il n'y avait que les heures qui sombraient...
(à part ça, est ce bien "tout-à-fait" poétiquement normal que l'espace de ce qui semble devoir être un visuel soit blanc? est ce un effet voulu, ou une fantaisie de lumière ou de mémoire noire?...)
Parfois des suites, ok. Parfois des faims? (surement déjà faite, mais la première fois qu'on visite, on se croit original et on ne peut s'empêcher de la faire)
Ah! S'il n'y avait que les heures qui sombraient...
RépondreSupprimer(à part ça, est ce bien "tout-à-fait" poétiquement normal que l'espace de ce qui semble devoir être un visuel soit blanc? est ce un effet voulu, ou une fantaisie de lumière ou de mémoire noire?...)
Parfois des suites, ok. Parfois des faims? (surement déjà faite, mais la première fois qu'on visite, on se croit original et on ne peut s'empêcher de la faire)
Vangauguin, pince-eau et venturi
Bonsoir Vangauguin
RépondreSupprimerC'est le blanc de la disparition. Je vous avouerai que j'ai auparavant usé de beaucoup de tons.
ravie de vous croiser par ici.
Juliet