tag:blogger.com,1999:blog-6248871720482172892.post126665317746947897..comments2010-08-16T11:40:29.428+02:00Comments on [Chaque angle nouveau multiplie le monde par lui-même] - Germaine Krull, NRF Gallimard, 1931: Des heures sombresJulietahttp://www.blogger.com/profile/11608105378548828190noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-6248871720482172892.post-43302004706389060442009-02-04T18:55:00.000+01:002009-02-04T18:55:00.000+01:00Bonsoir VangauguinC'est le blanc de la disparition...Bonsoir Vangauguin<BR/><BR/>C'est le blanc de la disparition. Je vous avouerai que j'ai auparavant usé de beaucoup de tons.<BR/><BR/>ravie de vous croiser par ici.<BR/><BR/>JulietJulietahttps://www.blogger.com/profile/11608105378548828190noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-6248871720482172892.post-33033505920787251932009-02-04T18:19:00.000+01:002009-02-04T18:19:00.000+01:00Ah! S'il n'y avait que les heures qui sombraient.....Ah! S'il n'y avait que les heures qui sombraient...<BR/><BR/>(à part ça, est ce bien "tout-à-fait" poétiquement normal que l'espace de ce qui semble devoir être un visuel soit blanc? est ce un effet voulu, ou une fantaisie de lumière ou de mémoire noire?...)<BR/><BR/>Parfois des suites, ok. Parfois des faims? (surement déjà faite, mais la première fois qu'on visite, on se croit original et on ne peut s'empêcher de la faire)<BR/><BR/>Vangauguin, pince-eau et venturiVANGAUGUINhttps://www.blogger.com/profile/12762064355935714362noreply@blogger.com