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La rue est un germe dans la peau avec des cercles noirs tout autour
Une étoile d’argent fixée au dessus
Les trottoirs s’imagent comme des bords identitaires
Ils déversent -longues et minutieuses secondes- les sons
Des pas de pas des pas
C’est au musée que l’on rencontre sa généalogie c'est-à-dire ce qui nous prolonge
Oh ! ville fantasme naturaliste de notre Mémoire :
Des ruines et Des creux dans les troncs
S’inventent nos plus grandes épopées.
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J'aimais bien l'intimisme qui courait dans tes écrits des mois/années précédents. Il semble que tu aies rajouté une dose d'abstraction.
RépondreSupprimerLe cocktail est réjouissant !
et voilà comment un commentaire apparait sur blogger :)
RépondreSupprimerOui, oui! Mais j'ai du faire 2 ou 3 exercices de Taï Chi pour me relaxer avant de tenter ma chance à nouveau.Quand ça n'est pas le profil c'est le code qui n'est pas bon. Je ne cherche même plus à indiquer un lien vers mon blog(ben oui, un peu de pub)à ce ÄæøÒß« de blogger.
RépondreSupprimerje vais arranger cela, Serge.
RépondreSupprimerJe mets un lien vers votre Blog.
bises