mardi 27 janvier 2009

Et après le clair obscur

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De profil.
On dirait un phare comme un poteau électrique dans son halo de lumière. Je voudrais qu’il soit deux – mais qui peut y faire – qu’il converge vers les saisons, le vert jusque dans le rythme de mon souffle.
A l’oblique.
Insaisissable. Il y a – infiniment – à dire du vertige quand sans bord le désir est de soufre de plomb et mercure.

Tu es ce vide qui me remplit
De profil.
S’affiche une instance de parole.





Invitation à découvrir Clair Obscur - exposition pour les 20 ans de la galerie La Ferronnerie
ici :
http://www.galerielaferronnerie.fr/

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