Poétique
Restent les empreintes dans les ruines bâties de sableRuines de ruines dans l’enDans la prise marquée de présent Et ton regard bas sur les pentes de tes ridesL’arbre dénoue ses racinesLes feuilles à la fenêtre comptent les automnesLes figures de tes dépendancesCet air qui roule sur les toits, à l’envers des rideauxEntre dansToi qui eauMorsure révélée, non-révéléeAu seuil de deux versants quand tu lies nos sensibles.(A Françoise Mariotti)
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