mardi 21 avril 2009

Des espaces



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Je n’écris plus
Là devant la fenêtre jusque la dernière branche
J’abandonne le regard en-dehors

dans épuisement des choix


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1 commentaire:

  1. Dans ton écriture, même quand elle est brève comme ici, il y a toujours un mot, une expression ou un vers qui interpelle. Là, si tu mets un l' devant épuisement je vais perpétuer le poème dans mon imaginaire. Sinon je continue à me couper les cheveux en quatre.

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