vendredi 23 janvier 2009

Pessakh

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Tu parles.
J’ai les cornes en terre
Lave-moi
Mais lave-moi
Je berne mes parenthèses
en parties rien
parcours des cendres de janvier tendues vers où?
Un débout sans lumière blanche,
Je dormirai encore longtemps.
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3 commentaires:

  1. Sans doute trop hermétique pour moi je n'avais pas compris ton poème/commentaire sur mes terres. Mais, ici, avec le titre, tout s'explique ! N'empêche que je ne dévoilerais rien !

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  2. Désolé ! C'est pas la bonne adresse mail nepetina/serge

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  3. Sans doute trop hermétique pour moi je n'avais pas compris ton poème/commentaire sur mes terres. Mais, ici, avec le titre, tout s'explique ! N'empêche que je ne dévoilerais rien !

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